SPORT Votre accès direct pour la troisième journée du Grand Prix de Monaco Historique

Nous nous préparons tous aux grands jours à notre manière. Certaines personnes ont leurs superstitions. Certaines personnes aiment méditer ou passer du temps avec leurs amis et leur famille, afin de garder les nerfs à distance. La plupart des pilotes ont leurs propres rituels d’avant course. Comme porter des montres, des chaussures ou des casques qu’ils considèrent comme des porte-bonheur. Mais comment Monaco se prépare-t-il pour ses grands jours ? Nous sommes sur le point de le découvrir car c’est le jour de la course au Grand Prix de Monaco Historique.

Le soleil a déjà préparé le grand jour en illuminant le Circuit de Monaco. La mer s’est également préparée pour le grand jour en accueillant des centaines de bateaux et de yachts. Vous pouvez voir des fans qui regardent le circuit depuis leurs terrasses somptueuses. Le ciel aussi est prêt pour le jour de la course. En se fondant dans les nuances de la mer, il a créé une grande toile de fond bleue. La toile parfaite pour toute course. Même le parcours est habillé pour l’occasion. Des panneaux fraîchement pressés bordent les ponts et les barrières. Le podium brille derrière la voie des stands. Puis il y a les moteurs qui ronronnent dans le paddock, nous donnant une idée de ce qui est à venir. Lorsque les fans prennent place dans les tribunes, leurs oreilles sont sollicitées par l’Hymne monégasque, l’hymne national de Monaco. Et tel un tapis rouge, le circuit de course attend ses pilotes et leurs voitures de 8 époques différentes. C’est ainsi que Monaco se prépare pour ses grands jours.

Le bruit des moteurs de voitures est assourdissant. Aucun bouchon d’oreille ne peut empêcher les rugissements d’atteindre et de secouer votre âme. C’est une expérience tellement intime. Même si vous êtes en groupe, vous avez l’impression de ne faire qu’un avec le circuit de Monaco. En le parcourant, vous remarquerez à quel point vous êtes proche de certaines parties du circuit. Seules quelques barrières et un maillon de chaîne vous séparent des voitures de course à la vitesse vertigineuse. À un endroit, près de la Piscine, il n’y a aucune barrière, aucune clôture, rien entre vous et les voitures de course. De là, il n’est pas nécessaire d’être un photographe pour prendre de superbes photos des voitures qui roulent à toute vitesse. Vous pourriez simplement vous promener sur la piste, mais ce serait une mauvaise idée. Les commissaires de course veillent toujours sur vous, s’assurant que vous êtes suffisamment proche de l’action, sans vous approcher dangereusement. Il est assez facile de se laisser emporter lorsque l’on voit des voitures de course à un bras de distance.

Le Grand Prix de Monaco Historique se veut convivial. En fait, il s’agit plus d’un spectacle que d’une course. Les vraies stars sont les voitures. Mais lorsque les pilotes de course voient un podium, ils ne peuvent s’empêcher de sortir les coudes. Et vous pouvez voir ce que cela représente pour des pilotes comme Stuart Hall, le Britannique qui a remporté non pas une mais deux courses. S’il y a un podium, les pilotes veulent la première place. Ils veulent le trophée, ils veulent entendre leurs hymnes joués, ils veulent vivre l’émotion de faire partie de cet événement historique. C’est normal, c’est le but de la course. Qui n’aime pas un peu de compétition ? Outre le trophée, les accolades et les hymnes, chaque vainqueur de la course se voit remettre une montre. Et il ne s’agit pas de n’importe quelle montre. Nous offrons à chacun d’entre eux une nouvelle TAG Heuer Monaco Gulf en Édition spéciale. Que dites-vous de ça ? Si cela rend tous les pilotes sur le circuit ultra-compétitifs, ne nous en voulez pas.

Le grand jour est riche en moments forts. Claudia Hürtgen, remplaçant Alex Birkenstock, et gagnant la course dans sa Ferrari 246. Les deux médailles d’or de Stuart Hall dans les courses D et E. Il y a eu le moment où un célèbre pilote de Formule 1 monégasque et le grand Jackie Ickx ont sorti quelques Ferrari vintage pour une démonstration. Les fans ont eu une grosse frayeur pendant quelques secondes lorsqu’une voiture de la course G a raclé les barrières. Cela avait l’air grave, mais les commissaires de course sont arrivés instantanément. Le conducteur, vous serez heureux de l’apprendre, est sain et sauf. Lotus a remporté la première, la deuxième et la troisième place de la course G. Il y a également eu un moment réconfortant à la fin lorsque les commissaires de course sont sortis et se sont alignés sur les côtés du circuit, agitant leurs drapeaux jaune, rouge et vert, saluant les 22 voitures de la course G qui se décrassaient après le dernier tour de course de la journée. C’est une belle attention. Et fidèle à son caractère, Monaco a su se montrer à la hauteur. Pas étonnant que les gens veuillent revenir ici.

La foule commence à quitter les tribunes à contre-cœur. Vous pouvez voir à leurs expressions qu’ils ne veulent pas que ce Grand Prix se termine. Certains prennent les ascenseurs, d’autres vont à la gare ou à l’aéroport de Nice, d’autres encore retournent à leur hôtel. Où qu’ils aillent, ils emporteront avec eux les souvenirs de ce Grand Prix. Ils rentrent tous chez eux avec le sentiment d’avoir gagné.

Dans le paddock, autour du circuit, à l’intérieur des ambulances, vous pouvez voir les mécaniciens, les commissaires de course et les médecins se détendre, soulagés que leur grand jour ait été un succès. Les rues s’ouvriront à nouveau dans quelques heures, les gens retourneront à leur réalité et Monaco se rappellera à nouveau ce que c’est que d’être tranquille.

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